Les automobilistes se rendant en France doivent se préparer à respecter une réglementation routière relativement récente : un panneau bleu avec un losange blanc peut entraîner une amende pouvant aller jusqu’à 135 euros en cas de non-respect. Ce panneau, qui est une addition récente sur les autoroutes françaises, délimite des voies réservées à certaines catégories de véhicules.

Cette réglementation concerne principalement la voie de gauche et vise à améliorer la fluidité du trafic sur les autoroutes en privilégiant les véhicules transportant au moins deux passagers, les voitures électriques équipées d’un autocollant « zéro émission », les taxis et les transports en commun. Fait intéressant, l’utilisation de cette voie peut être limitée à certaines plages horaires, signalées par l’allumage du panneau ou par la présence d’un panneau additionnel indiquant les heures concernées.

Dans les villes de Lyon, Grenoble et Strasbourg, où ce panneau a été testé, il fait désormais partie intégrante du paysage routier. La surveillance de cette réglementation est assurée par des radars spécifiques, capables non seulement de contrôler le respect de la règle, mais aussi de détecter le nombre de passagers dans un véhicule. Cette technologie représente un pas important vers la réduction de l’impact environnemental et la promotion du covoiturage, une pratique encouragée par la France, qui propose même des primes pour les automobilistes qui y adhèrent.

Ce panneau indique une voie réservée aux :

  • véhicules transportant au moins deux passagers,
  • véhicules équipés d’un autocollant « zéro émission »,
  • taxis et bus.

L’objectif de cette mesure est non seulement d’améliorer la fluidité du trafic, mais aussi de contribuer à la protection de l’environnement en réduisant le nombre de véhicules sur les routes.

L’apparition de ce nouveau panneau de signalisation en France souligne l’importance pour les conducteurs de se tenir informés des règles de circulation en vigueur dans leur pays de destination afin d’éviter des surprises désagréables et des amendes coûteuses. En effet, ceux qui ne respectent pas cette nouvelle règle s’exposent à une amende de 135 euros – un prix élevé à payer pour une méconnaissance ou une négligence.